Les révélations de Karen Hudes employée de la Banque
mondiale
Vers une « affaire Snowden » puissance 10 ! Karen
Hudes est diplômée de la Yale Law School et elle a travaillé dans le département
juridique de la Banque mondiale depuis plus de 20 ans. En fait, quand elle a
été congédiée pour avoir dénoncé la corruption à l’intérieur de la Banque
mondiale, elle occupait le poste de Conseillère Senior.
Elle était dans une position unique pour voir exactement
comment l’élite mondiale dirige le monde, et les informations qu’elle révèle
maintenant au public sont absolument stupéfiantes.
Selon Hudes, l’élite utilise un noyau très serré des
institutions financières et des méga-sociétés pour dominer la planète. Le but
est le contrôle. Ils veulent nous asservir tous à la dette, ils veulent
asservir tous nos gouvernements à la dette, ils veulent rendre nos politiciens
accros aux énormes contributions financières qu’ils canalisent dans leurs
campagnes. Puisque l’élite détient aussi toutes les grandes sociétés de médias,
les grands médias ne nous informent jamais de ce secret : il y a quelque chose
de fondamentalement mauvais dans la manière dont notre système fonctionne.
Le système financier corrompu que l’élite mondiale utilise pour contrôler les richesses du monde
Rappelez-vous, ce n’est pas une « théorie du complot » qui dit ces choses. C’est une avocate — instruite à Yale — qui a travaillé à l’intérieur de la Banque mondiale depuis plus de deux décennies. Le résumé qui suit de son curriculum provient directement de son site… Karen Hudes a étudié le droit à Yale Law School et l’économie à l’Université d’Amsterdam. Elle a travaillé dans l’Export Import Bank américaine des États-Unis de 1980-1985 et dans le département juridique de la Banque mondiale de 1986 à 2007. Elle a créé le Comité d’ Organisation Non Gouvernementale de la Section du droit international de l’ American Bar Association et le Comité sur le multilatéralisme et la responsabilité des organisations internationales de la branche américaine de l’ International Law Association. Aujourd’hui, Hudes s’évertue à dénoncer le système financier corrompu que l’élite mondiale utilise pour contrôler les richesses du monde. Lors d’une interview avec le New American, elle a discuté de la façon dont nous laissons ce groupe d’élites de dominer totalement les ressources de la planète sans réagir…
Une ancienne de la Banque mondiale , l’avocate ex-Conseillère Senior Karen Hudes , affirme que le système financier mondial est
dominé par un petit groupe de personnes corrompues , avides de pouvoir,
centrées autour de la Réserve fédérale américaine privée. Le réseau a aussi
pris le contrôle des médias pour couvrir ses crimes, a t-elle expliqué. Dans
une interview avec The New American, Hudes dit que quand elle a essayé de
dénoncer les multiples problèmes à la Banque mondiale, elle a été congédiée
pour ses efforts. Maintenant, avec un réseau de collègues dénonciateurs, Hudes
est déterminée à dénoncer et mettre fin à la corruption. Et elle est convaincue
de la réussite.
Les ressources de la planète sont dominées par un petit groupe
Les ressources de la planète sont dominées par un petit groupe
Citant une étude suisse explosive de 2011, publiée dans
le Journal PLoS
ONE sur le « réseau de contrôle de la société
mondiale », Hudes a souligné qu’un petit groupe d’entités – principalement
des institutions financières et en particulier les banques centrales – exerce
une énorme influence sur l’économie internationale dans les coulisses. » Ce qui
se passe réellement, c’est que les ressources de la planète sont dominées par
ce groupe », a-t-elle expliqué , ajoutant que les « accapareurs de
pouvoir corrompu » ont réussi à dominer aussi les médias. « Ils sont
autorisés à le faire. »
Auparavant, j’ai écrit au sujet de l’étude suisse que Hudes
mentionne. Elle a été réalisée par une équipe de chercheurs de l’Institut
fédéral suisse de technologie à Zurich, en Suisse. Ils ont étudié les relations
entre les 37 millions d’entreprises et investisseurs du monde entier, et ce
qu’ils ont découvert, c’est qu’il y a une « super-entité » de seulement 147
méga-corporations étroitement liées qui contrôlent 40 pour cent de l'ensemble
de l’économie mondiale…
Lorsque l’équipe a démêlé plus avant le réseau des
détenteurs, elle a trouvé la plupart des éléments lui permettant de remonter
jusqu’à une « super-entité » de 147 entreprises encore plus étroitement
liées — tous leurs biens étant détenus par d’autres membres de la super-entité — qui contrôlent 40 % de l’ensemble du réseau », explique Glattfelder.
La plupart étaient des institutions financières. Le top 20 inclue Barclays Bank,
JPMorgan Chase & Co et le groupe Goldman Sachs.
Mais l’élite mondiale ne se contente pas de contrôler ces
méga-entreprises. Selon Hudes, elle domine également les organisations non
élues, qui n’ont pas de compte à rendre, et qui contrôlent les finances de
presque tous les pays de la planète. La Banque mondiale, le FMI et les banques
centrales comme la Réserve fédérale contrôlent littéralement la création et la
circulation de l’argent dans le monde entier.
Au sommet de ce système se trouve la Banque des règlements
internationaux. C’est la banque centrale des banques centrales, et affichée
ci-dessous une vidéo où vous pouvez regarder Hudes disant à Greg Hunter de
USAWatchdog.com ce qui suit…
« Nous n’avons pas à attendre de qui que ce soit qu’il vire
la Fed ou la Banque des règlements internationaux… Certains Etats ont déjà
commencé à reconnaître argent et l’or, les métaux précieux, en tant que
monnaie. »
La BRI contrôle secrètement la masse monétaire du monde entier
La plupart des gens n’ont jamais entendu parler de la Banque des règlements internationaux, mais c’est une organisation extrêmement importante. Dans un précédent article, j’ai décrit comment cette « banque centrale du monde » est littéralement à l’abri des lois de tous les gouvernements nationaux…
Une organisation internationale extrêmement puissante, dont
la plupart des gens n’ont jamais entendu parler, contrôle secrètement la masse
monétaire du monde entier. Elle est appelée la Banque des règlements
internationaux, et c’est la banque centrale des banques centrales. Elle est
située à Bâle, en Suisse, mais elle a aussi des succursales à Hong Kong et à
Mexico. Il s’agit essentiellement d’une banque centrale non élue, qui n’a pas
de compte à rendre au monde, qui bénéficie de l’immunité complète de la
fiscalité et de la législation nationale. Même Wikipedia admet qu’« elle n’a de
compte à rendre à aucun gouvernement national. » La Banque des règlements
internationaux a été utilisé pour blanchir de l’argent pour les nazis pendant
la Seconde Guerre mondiale, mais ces jours-ci le but principal de la BRI est de
guider et de diriger le centre planifié du système financier mondial.
Aujourd’hui, 58 banques centrales mondiales appartiennent à
la BRI, et elle a beaucoup plus de pouvoir sur la façon dont l’économie
américaine (ou toute autre économie, d’ailleurs) se portera au cours de la
prochaine année que n’importe quel politicien. Tous les deux mois, les
banquiers centraux du monde entier se réunissent à Bâle pour une « Réunion sur
l’économie mondiale ».
Seulement six sociétés de médias géants contrôlent plus de 90 % des nouvelles
Seulement six sociétés de médias géants contrôlent plus de 90 % des nouvelles
Au cours de ces réunions, des décisions sont prises qui
affectent chaque homme, femme et enfant sur la planète, et pourtant, aucun
d’entre nous n’a son mot à dire dans ce qui se passe. La Banque des Règlements
Internationaux est une organisation qui a été fondée par l’élite mondiale, elle
fonctionne pour le bénéfice de l’élite mondiale, et elle est destinée à être
l’une des pierres angulaires du système économique mondial naissant.
Ce système n’est pas venu à l’existence par accident. En
fait, l’élite mondiale a mis au point ce système depuis très longtemps. Dans un
précédent article intitulé « Qui dirige le monde ? Preuve qu’un noyau
solide d’élitistes riches tire les ficelles », j’ai inclus une citation
de Georgetown University, professeur d’histoire Carroll Quigley tirée d’un
livre qu’il a écrit déjà en 1966, dans lequel il discutait des grands projets
que l’élite avait pour la Banque des règlements internationaux…
Les puissances du capitalisme financier avaient un autre but
de grande envergure, rien de moins que de créer un système mondial de contrôle
financier dans des mains privées capables de dominer le système politique de
chaque pays et l’économie du monde dans son ensemble.
Ce système devait être contrôlé de manière féodale par les
banques centrales du monde agissant de concert, par des accords secrets obtenus
dans des réunions privées fréquentes et des conférences. Le sommet du système
devait être la Banque des règlements internationaux à Bâle, en Suisse, une
banque privée possédée et contrôlée par les banques centrales du monde qui
étaient elles-mêmes des sociétés privées.
Et c’est exactement ce que nous avons aujourd’hui.
Nous avons un système de « néo-féodalisme » dans
lequel chacun d’entre nous et nos gouvernements nationaux sont asservis à la
dette. Ce système est régi par les banques centrales et la Banque des
règlements internationaux, et il transfère systématiquement les richesses du
monde de nos mains entre les mains de l’élite mondiale.
Mais la plupart des gens n’ont aucune idée de ce que tout
cela se passe parce que l’élite mondiale contrôle aussi ce que nous voyons,
entendons et pensons. Aujourd’hui, il y a seulement six sociétés de médias
géants qui contrôlent plus de 90 pour cent des nouvelles et des divertissements
que vous regardez sur votre téléviseur aux États-Unis.
Source : theeconomiccollapseblog.com/
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