Le revenu inconditionnel (selon Baptiste Mylondo) et le salaire à vie (au sens de Réseau Salariat) ont en commun le versement à tous d’un montant supérieur aux minima sociaux.
Toutefois, le revenu inconditionnel, qui examine plusieurs financements, opte pour l’impôt progressif sur le revenu et sur le patrimoine, sans exclure une combinaison avec la cotisation sociale.
Pour Réseau Salariat, la cotisation seule s’impose, car elle subvertit le capital, tandis que la fiscalité le confirme :
redistributive, la fiscalité suppose que la répartition de la richesse entre salaire et profit ait déjà eu lieu. En ce sens, elle met d’autant moins en cause le profit qu’elle y est adossée. A l’inverse, la cotisation fait partie de la répartition première de la richesse, de même que le salaire et le profit ; mieux, toute hausse de la cotisation concurrence le profit.
que l’allocataire soit aussi employé ou ne vive que du revenu universel, il n’a aucune maîtrise du quoi et du comment de la production, qui restent le fait du propriétaire du capital. Le salaire à vie propose l’inverse : reconnaître à chacun le droit politique de décider de la production.
Les caisses de sécurité sociale et la cotisation sociale prouvent que ça marche, en gérant 30 % du produit intérieur brut et en salariant déjà les millions de retraités, les soignants, les parents, sans profit ni marché du travail ! Étendue au financement du salaire à vie et de l’investissement, elle supprime toute légitimité au capital.
Toutefois, le revenu inconditionnel, qui examine plusieurs financements, opte pour l’impôt progressif sur le revenu et sur le patrimoine, sans exclure une combinaison avec la cotisation sociale.
Pour Réseau Salariat, la cotisation seule s’impose, car elle subvertit le capital, tandis que la fiscalité le confirme :
redistributive, la fiscalité suppose que la répartition de la richesse entre salaire et profit ait déjà eu lieu. En ce sens, elle met d’autant moins en cause le profit qu’elle y est adossée. A l’inverse, la cotisation fait partie de la répartition première de la richesse, de même que le salaire et le profit ; mieux, toute hausse de la cotisation concurrence le profit.
que l’allocataire soit aussi employé ou ne vive que du revenu universel, il n’a aucune maîtrise du quoi et du comment de la production, qui restent le fait du propriétaire du capital. Le salaire à vie propose l’inverse : reconnaître à chacun le droit politique de décider de la production.
Les caisses de sécurité sociale et la cotisation sociale prouvent que ça marche, en gérant 30 % du produit intérieur brut et en salariant déjà les millions de retraités, les soignants, les parents, sans profit ni marché du travail ! Étendue au financement du salaire à vie et de l’investissement, elle supprime toute légitimité au capital.
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