Par Matthieu Le Crom
Bien avant 2008 et la « crise des subprimes », le terme était rentré dans l’imaginaire collectif. C’est comme ça, c’est la crise. Il faut se serrer la ceinture, c’est la crise. Et puis merde à la fin, c’est la crise.
Pourtant, pour les millionnaires et les milliardaires, en passant par les gros actionnaires, tout va pour le mieux dans le meilleur des mondes. Le fossé a rarement été aussi grand entre la base de la population, paupérisée, et le haut de la pyramide qui se gave comme jamais. Qu’on soit de gauche, de droite ou d’ailleurs, difficile de justifier les inégalités du monde actuel.
Bien avant 2008 et la « crise des subprimes », le terme était rentré dans l’imaginaire collectif. C’est comme ça, c’est la crise. Il faut se serrer la ceinture, c’est la crise. Et puis merde à la fin, c’est la crise.
Pourtant, pour les millionnaires et les milliardaires, en passant par les gros actionnaires, tout va pour le mieux dans le meilleur des mondes. Le fossé a rarement été aussi grand entre la base de la population, paupérisée, et le haut de la pyramide qui se gave comme jamais. Qu’on soit de gauche, de droite ou d’ailleurs, difficile de justifier les inégalités du monde actuel.