PAR HENRI CHAZELLE
Comment la logique néolibérale du tout marchand se moque de l'intérêt général, de celui des usagers, de leur sécurité, de l'écologie, de l'aménagement du territoire et conduit à des solutions absurdes : faire faire plus de 1000 km à un usager pour relier deux villes alors qu'une ligne de 400 km permet de le faire ! Comment de telles absurdités conduisent à démanteler un réseau ferroviaire.
Le discours néolibéral affirme que tout ce qui est géré par la puissance public l'est forcément mal, et pour cela doit être transféré au domaine marchand ou disparaître.
Mais la vraie raison, non proclamée, est que les forces économiques dominantes ne sont intéressées que par ce qui est potentiellement générateur de profit. Elles souhaitent alors se l'approprier (privatisations). Le reste, financé par la fiscalité qui diminue leurs profits, doit disparaître, qu'il ait ou non une utilité sociale.
Comment la logique néolibérale du tout marchand se moque de l'intérêt général, de celui des usagers, de leur sécurité, de l'écologie, de l'aménagement du territoire et conduit à des solutions absurdes : faire faire plus de 1000 km à un usager pour relier deux villes alors qu'une ligne de 400 km permet de le faire ! Comment de telles absurdités conduisent à démanteler un réseau ferroviaire.
Le discours néolibéral affirme que tout ce qui est géré par la puissance public l'est forcément mal, et pour cela doit être transféré au domaine marchand ou disparaître.
Mais la vraie raison, non proclamée, est que les forces économiques dominantes ne sont intéressées que par ce qui est potentiellement générateur de profit. Elles souhaitent alors se l'approprier (privatisations). Le reste, financé par la fiscalité qui diminue leurs profits, doit disparaître, qu'il ait ou non une utilité sociale.